Toutes Les Femmes SAppellent Marie : La Caissière Du Supermarché
Alors que je fréquente Marie Françoise, Une autre Marie entre dans ma vie. Celle-ci est caissière au supermarché.
Sa fille est devenue une amie de mon fils. Maintenant, quand je passe à sa caisse elle me fait de beaux sourires. Je marrange dailleurs pour la choisir dès que je le peux. Cest une grande femme, blonde décolorée. Je dois dire que je lai regardée un peu plus depuis que jai connu sa fille qui est magnifique. Petit à petit nous prenons lhabitude de bavarder. Un jour elle me demande :
« Votre fils ma dit lautre jour que vous vous y connaissiez en informatique. Jai déménagé et je narrive plus à me connecter à Internet.
Oui, je connais un peu, si ce nest pas matériel, je peux essayer de regarder.
Je fini à vingt heures. Si ce nest pas trop tard, Vous pourriez passez disons vers vingt heures trente.
Pas de problème à tout à lheure. »
Après avoir rangé les courses, je mange, charge quelques outils sur une clé électronique et à lheure prévue, me rends chez la dame. Elle me reçoit en peignoir. Sexcuse de sa tenue disant ne pas supporter de garder ses habits de travail après la journée.
Je la rassure en lui disant, que je la trouve beaucoup mieux ainsi. Elle sourit, manifestement pas du tout choquée de ma remarque un peu « osée ».
Je minstalle à lordinateur et elle me propose lapéritif. Je lui dis que jai déjà dîné.
« Vous prendrez bien un whisky pour maccompagner ?
Oui, avec plaisir... et avec deux glaçons ! » Elle rit de ma vanne à deux balles.
Je trouve assez rapidement la source du problème mais je fais durer, lui demandant des informations pour améliorer le paramétrage. Elle vient derrière moi pour regarder et me les indiquer. Quand elle repart s'asseoir je déverrouille laffichage des fichiers cachés et regarde discrètement dans ses dossiers personnels Je trouve des photos assez coquines.
Je prétexte alors dinstaller un outil de nettoyage et je place ma clé dans lordinateur.
Enfin, jugeant que la comédie a assez duré, je rétabli tout je lui déclare que cela fonctionne mieux. Je la fais asseoir à ma place et lui montre ce que jai fais, je lui donne quelques conseils. Placé derrière elle, je respire son parfum et mon regard plonge dans lentrebâillement du peignoir. Je me recule afin quelle ne sente pas mon érection montante.
Une fois terminé, nous passons au salon. Elle me remercie. Me demande poliment combien elle me doit. Je refuse bien sûr quelle me paye, même après quelle ait insisté, lui disant que cest un plaisir. Que je me facherais si elle le faisait. Elle me déclare alors quelle minvitera à manger.
« Cela fait quinze jours que je ne pouvais plus se connecter. Jétais très embêtée. »
Je la conseille pour se protéger des virus. On repart sur lordinateur pour que je lui installe un logiciel gratuit et efficace, qui détecte aussitôt des fichiers malveillants et les élimine.
Revenus au salon, elle a envie de parler et me ressert un verre, tout comme à elle. Elle mexplique quen ce moment elle rencontre différents problèmes à régler, quaujourdhui, tout passe par Internet. Que ce nest pas facile quand on est seule et que lon ny connaît rien. Je lui dis alors, que si elle a besoin, cela ne me dérange pas et dans la mesure du possible, je suis prêt à la dépanner.
« Vous êtes gentil, mais cest vrai que tout le monde lest dans votre famille, cela ne métonne pas !
Comment cela toute ma famille ?
Votre sur, ma aussi dépannée pour le logement et votre fils amène ma fille à luniversité. Vous voyez, cest surement dans les gênes ! (jévite la vanne classique)
Cest vrai dis-je en riant. Chacun avec ses compétences.
Bon alors daccord ? Vous viendrez dîner ? Disons, vendredi, je ne travaille pas le lendemain.
Daccord ! Je porte le vin ! Vous préférez quoi ? Rouge, rosé, blanc ? Ou même champagne ?
Si josais, je dirais champagne.
Eh bien cest daccord pour le champagne. A vendredi. »
De retour chez moi, je récupère les photos sur mon ordinateur. Jen avais vu quelques unes mais dans le dossier que jai ensuite récupéré, je ne suis pas déçu ! Plusieurs séries existent. Vêtements sexy, en dessous de différentes couleurs. La dame apprécie la lingerie fine. Une série effeuillage où elle finit nue. Une série couchée nue sur un lit et une série « sextoys »
Je me passe les photos en diaporama plein écran et me branle devant. Nue, ou en dessous coquins, Marie, je sais je suis abonné à ce prénom, même si en fait elle sappelle Marie Noëlle (oui daccord, cest la fille
) Marie est une superbe femme. De belles rondeurs où il faut, des seins et des fesses à damner un saint ! Des grands yeux gris vert et est totalement épilée. Un joli tatouage dans le creux du dos et à une cheville. Un piercing au nombril. Au niveau sextoys, elle a aussi une belle collection de godes, uf et plug. Bref, une sacrée coquine qui cache son jeu. Bien sûr, pendant plusieurs jours je fantasme et me branle sur les photos de cette femme en visualisant en boucle les plus érotiques.
Si je la trouve bandante, je ne pense pas du tout à elle comme partenaire éventuelle. La dame doit être courtisée, voire plus et ne doit pas manquer de mâles à ses trousses.
Le vendredi dans la journée, Marie, lautre (Françoise), me téléphone pour savoir si je vais au sauna le soir. Je décline son invitation, mais connaissant mes occupations, elle ne sétonne pas. Nayant pas envie dy aller seule, elle rendra visite à sa mère. Le soir même, je la croise à la sortie du magasin avec ma bouteille de champagne à la main. Elle sourie.
« Ah je vois ! Tu avais un rendez-vous galant !
Oui ! Enfin, je ne sais pas sil sera galant, je ny crois pas trop. Mais jai promis le champagne.
Tu me raconteras ?
Tu es une perverse ! Je verrai
Cest sérieux ou quoi ? Pardon, ça ne me regarde pas en fait, excuse-moi
Pas de problème ! On est assez libres pour se raconter ça. Mais je ne pense pas que ce sera sexuel ni sérieux.
A demain !
Si je ne suis pas encore occupé ! dis-je en riant »
En plus du champagne jai acheté un bouquet de fleurs que Marie na pas vu. Un bouquet assez neutre, mais qui pour ceux qui comprennent ce langage, peut être interprété (attirance, sexe.
).Une orchidée rouge symbolisant mon désir de lui faire lamour. Il se trouve que Marie connaît la signification de cette dernière et quelle me lavouera plus tard.
Il fait nuit lorsque je frappe à la porte. Marie Noëlle ouvre et me fait entrer rapidement. Prenant le bouquet, elle rougit « il ne fallait pas ! » Elle me fait la bise naturellement pour me remercier, ce qui me permet de respirer à nouveau son parfum capiteux. Elle a chaud et ça mélectrise.
Elle me précède vers le salon et je peux découvrir sa tenue. Une robe noire évasée, sarrêtant largement au dessus des genoux. Les jambes sont nues et elle porte de jolis escarpins qui affinent sa silhouette. La robe moule bien ses formes que jai pu apprécier par ailleurs. Elle revient avec un vase et une bouteille de champagne.
« Il est frais ! Jai mis la votre à la place. Si vous le voulez, nous pouvons prendre celle-ci pour lapéritif. Cela ne fera pas de mélange.
Tout à fait daccord ! »
Jouvre la bouteille pendant quelle place les fleurs dans le vase. Lorsquelle se penche, jai limpression que sa poitrine est libre sous la robe, ce qui me titille un peu. Nous trinquons à la soirée. Marie sest aussi maquillée et ses yeux sont mis en valeur.
- « Puis-je r de votre gentillesse ? Jaimerais faire un peu de ménage sur mon ordinateur, mais jai peur de faire des bêtises. »
Jaccepte bien sûr. Elle va chercher le portable et linstalle sur la table devant moi.
Elle me fait supprimer des programmes malveillants ou indésirables. Je lui conseille un antivirus que jinstalle. Pendant les moments où la machine travaille nous discutons tout en sirotant le breuvage à bulle. Elle sémerveille de ma facilité. Je ne sais si cest pour me flatter ou si cest naturel. Le travail avance bien et la bouteille se vide. Bientôt, sa machine est configurée et je redémarre pour mettre à jour. La bouteille est vide et Marie va cherche la seconde, sexcusant presque « dadorer ce nectar ». Ses joues sont plus roses et ses yeux brillent.
Son PC redémarre plus vite. A la demande du mot de passe je lui demande de le saisir, mais elle me le donne. Je lui dis que ce nest pas sérieux ! Mais que je vais mempresser de loublier (difficilement me dis-je)
« Oh mais, je nai rien à cacher ! Quoi que
Vous voyez, il ne faut jamais donner un mot de passe. Il faudra le changer.
Ah ça, je ne sais pas faire. » Je lui montre mais elle ne veut pas changer de peur doublier. « Je voudrais aussi faire un peu de nettoyage sur des fichiers. Je voudrais en copier certains sur une clé et supprimer dautres. Mais
Promettez-moi dêtre discret !
Aucun problème ! Vous me guidez ? »
Lun contre lautre elle me montre les dossiers à transférer et ceux à supprimer. Je ne lui parle pas des dossiers cachés. Notre travail avance vite. A la fin il ne reste que deux ou trois dossiers et, ce que navait pas vu Marie, deux photos assez sexys delle.
Elle est confuse lorsquelles apparaissent en petite icône. Je ris en lui disant que je ny peux rien et que franchement je trouve très charmant.
« Je les supprime ? Vous les avez par ailleurs ?
Oui ! Sil vous plaît ! Excusez-moi !
Mais ne vous excusez pas !
Cest
Mon ancien mari qui avait pris ces photos il y a quelques années. Je ne savais pas quil y en avait ainsi. Je croyais quelles étaient cachées dans un coin.
Cétait un bon photographe. Il faut dire que le modèle est toujours joli. Mais je nai pas vu de répertoire caché. Peut être quil est encore sur le disque ? Voulez-vous que je regarde ?»
Je modifie un paramètre pour voir ce qui est caché et découvre effectivement le fameux dossier. Je ne louvre pas tout de suite et lui demande si cest celui-là ? Elle nest pas sûre, aussi le lui propose de regarder pendant que je me détourne. Cest le dossier, ce dont je me doutais puisque javais récupéré les photos précédemment. Une fois refermé, elle me demande de le supprimer. Je fini de nettoyer le disque ainsi que les dernières photos « coquines ».
Nous retournons au salon. Marie, un peu « pompette », a envie de se confier. Elle sexcuse à nouveau pour les photos. Évoque sa vie et ses soucis. Son ancien mari, la quittée il y a cinq ans, la laissant seule avec sa fille. Elle a rencontré alors celui avec lequel elle habitait encore récemment. Tout allait bien jusquil y a quelques mois. Son compagnon est devenu violent, ce quelle a accepté un moment. Lorsquil sen est pris à sa fille, elle a décidé de le quitter.
« Mais, je ne veux pas vous importuner avec mes problèmes !
Ne vous inquiétez pas pour ça, cela fait aussi du bien den parler. »
Nous dînons enfin, tout en continuant à parler, delle, de sa fille, de sa vie, de la mienne. Ses yeux sont brillants, je my noie dedans, je suis sous le charme, mais rien ne paraît. Elle insiste ensuite pour que je prenne le digestif. Lorsque je la quitte, nous nous faisons la bise et cest là que tout bascule. Elle sagrippe à moi, mentourant de ses bras et membrasse sur la bouche.
« Jai envie
de vous. Me dit-elle. Vous avez été si gentil et mavez écoutée. Vous êtes délicat et navez fait aucun commentaire sur mes
photos
Que jai appréciées. Vous êtes superbe mais
Je ne vous plais pas ?
Au contraire, mais je ne voudrais pas passer pour un goujat mort de faim, surtout après ce que vous venez de vivre.
Je vous choque de me comporter comme ça ? Il y a si longtemps que je nai
»
Je pose un doigt sur ses lèvres pour la faire taire, me penche sur elle pour prendre sa bouche et lenlacer. Elle me rend aussitôt un baiser brûlant et se colle à moi. Elle soupire en sentant ma queue dressée entre nous et frotte son bassin contre le mien.
Elle se recule dun pas, me regarde fixement, att sa robe par le bas et la retire par la tête. Elle se retrouve en culotte face à moi et après avoir jeté la robe, enlève son dernier rempart de tissu.
Cette femme est superbe. Des seins, pas très gros, mais qui tiennent bien pour son âge et dont les tétons sont bien dressés. Elle est entièrement épilée à lexception dun mince filet noir très érotique au dessus de la fente, ce que javais vu sur les photos. Elle revient se coller à moi. Je sens sa chaleur à travers mes vêtements. Elle a gardé ses chaussures et est ainsi légèrement plus grande que moi. Tout en membrassant, elle retire mes vêtements, la veste, puis la chemise. Ses seins plaqués contre mon torse me communiquent sa chaleur. Je la caresse dans le dos et sur les fesses, ce quelle semble aimer. Son corps charpenté et musclé mexcite particulièrement, toutefois, je la laisse agir à son rythme.
Elle attaque ma ceinture, puis descend mon pantalon et mon boxer sur les chevilles, ce que je trouve ridicule, mais Marie se fiche de cela, elle saisit ma bite, lève les yeux vers moi dun air gourmand en passant la langue sur ses lèvres.
Accroupie sur les talons, jambes écartées, elle lèche le gland et la hampe. La prend entre les doigts pour rouler les boules dans sa bouche, grognant de satisfaction. Enfin, elle mavale dune gorge profonde.
La fellation dure un moment et à la fin, je dois laider à se relever car ses cuisses sont tétanisées. Nos bouches se retrouvent, debout nus au milieu du salon.
- « Prends-moi ! Jai envie ! » Murmure-t-elle en mentrainant vers le canapé.
Je me détache delle pour libérer mes chevilles, puis mavance vers elle étalée, bras et jambes ouverts, un grand sourire aux lèvres. Elle me tend un sachet de préservatif - décidément elle a tout prévu - Je nai quà me pencher sur son corps pour quelle relève ses jambes et les noue dans mon dos. Ma queue trouve sa chatte béante sans problème et je me fiche à fond dans son antre.
Marie nest pas une « taiseuse » Elle commente lacte sexuel, grogne, crie, soupire fort, demande, encourage, en redemande. Les mots lexcitent et cest aussi excitant. Lorsquelle entre dans la phase ultime du plaisir, il ne faudrait pas que les voisins soient trop près, sinon, ils nauraient aucun doute sur son activité.
Elle appelle un chat un chat ! Elle est bonne ta queue ! Ouiiii ! Je la sens bien ! Vas-y ! Défonce-moi ! Baise-moi fort ! Ouii ! Jaime ça ! Je viens ! Ouii ! Encore !
. Jen passe. Son corps devient brûlant son odeur de femme monte aussi. La furie secoue la tête, tente douvrir les yeux et quand elle est submergée par lorgasme, Gueule son plaisir. Son vagin se serre à plusieurs reprises avant quelle ne sétale, anéantie.
Je la laisse récupérer. Son corps est luisant de transpiration. Les yeux fermés elle cherche son souffle. Moi aussi je transpire. Je vais chercher une bouteille deau pour mabreuver. Lorsquelle émerge, je la lui tends et elle avale goulûment le liquide frais. Enfin redescendue sur terre, elle me regarde en souriant.
« Mon dieu ! Je suis folle ! Que dois-tu penser de moi ? Je me comporte comme la pire des salopes ! Mais cétait si bon ! Tu mas baisée comme un dieu ! Il y a si longtemps que je navais pas joui comme ça ! Je dois te faire peur, non ?
Je nai pas peur, au contraire, cest un plaisir de te voir faire lamour et jouir
Cest vrai ? Jai honte !
Tu ne dois pas être honteuse ! Cest beau une belle femme qui jouit.
Tu me trouves belle ?
Très ! Je naurais jamais espéré te faire lamour. Il y a tant dhommes mieux que moi et plus jeunes que moi qui doivent te plaire !
Tu as tort ! Lautre jour, quand je tai senti derrière moi, je savais que tu voyais mes seins et sentais mon corps. Jétais déjà à deux doigts de te sauter dessus. Je suis en manque, un peu folle, mais quand jai envie, jai du mal à me retenir !
Jen suis le premier ravi !
Mais
Toi, tu nas pas jouis ?
Je nai pas éjaculé, car jai lintention de te baiser encore et je veux garder des forces !
Cest vrai ? Tu as encore envie de moi ?
Suce-moi un peu et tu vas voir comment je vais moccuper de toi espèce de salope !
Cette femme est vraiment belle. Son visage peut paraître dûr car plutôt carré, mais dès qu'elle sourit tout change. Et puis, on ne voit que ses yeux gris-vert dans lesquels on a envie de se noyer. Jai parlé un peu de son physique, mais lensemble est très harmonieux. Des épaules assez larges, une taille fine et des hanches évasées sur de longues jambes. Franchement elle est plutôt « canon ». Je suis étonné quaucun homme ne lait abordée avant moi. Elle me dira plus tard faire peur aux hommes « Heureusement que ce na pas été ton cas ». Le plus curieux, cest que sous son air de femme forte dû à sa taille et son port altier, Marie est du genre timide et réservée. En revanche, quand elle se lâche, cest une bombe !
Ma relation avec elle va prendre un tour inattendu et va surtout changer complètement sa vie.
Revenons à cette première soirée, qui va devenir notre première nuit et le début dune aventure surprenante.
Ayant retrouvé rapidement une bonne raideur sous les lèvres de Marie, je la retourne à genoux sur le fauteuil. Cest ainsi que je découvre le galbe de ses hanches, prononcé par létroitesse de sa taille. Marie a un ventre plat de sportive. Dans cette position, sans le vouloir, je constate que nous sommes en face dun miroir collé au mur qui forme une psyché ondulée. Marie cambre ses reins en attente de la queue qui trouve rapidement son chemin entre les cuisses.
Son vagin liquoreux mabsorbe sans problème et Marie accompagne mes mouvements par les siens. Dans la glace, tout comme moi, elle observe notre couple en action, le visage éclairé dun grand sourire. Ce nest que quand son plaisir monte trop, quelle secoue sa tête et sa chevelure blonde, quelle ne peut plus regarder notre reflet. A son habitude, elle débite des insanités :
- « Oh oui salaud ! Cest bon ce que tu me fais ! Cà te plait de me baiser devant la glace ! De voir mon cul ! Je te sens bien comme ça ! Oui ! Défonce-moi ! Je suis une salope ! Jaime ça oui ! Vas-y ! Donne-moi ton foutre ! Arrose-moi ! Je veux te sentir jouir dans mon ventre ! »
Je ne méconomise pas, sachant que la coquine jouit rapidement, je ne lâche pas notre coït des yeux dans la glace et sentant monter ma jouissance, je lui annonce :
- « Oh oui ! Salope ! Je vais te foutre ! Je jouis ! Tiens ! Prends ça ! Oui il est beau ton cul ! »
Agrippé à ses hanches pleines je lâche mon sperme dans son corps brûlant. Marie crie une dernière fois avant de seffondrer sur le dossier, ses cheveux blonds recouvrant son visage. Son corps est luisant de sueur, le mien nest pas mieux. La coquine avait poussé le chauffage comme elle me lavouera plus tard. Elle a tellement préparé la chose quaprès avoir retrouvé un peu de calme, elle se précipite, merveilleusement nue, impudique, vers la cuisine doù elle ramène une troisième bouteille quelle avait mise au frais.
Bien sûr, nous ne nous quittons pas comme cela et nous retrouvons tous les deux dans son lit, plutôt grand dailleurs, la bouteille et les verres nous ont suivis et nous buvons à ce moment précieux.
« Il y a longtemps que je navais pas fais lamour comme ça ! Cà me fait du bien si tu savais !
Cest vrai que tu as lair épanouie. Mais dis-moi, tu as un peu prémédité la chose non ?
Oh !... Pardonne-moi, mais lautre soir tu mas donné envie, quand tu as vu les
photos ! Tu tes bien rincé lil en plus. Jétais confuse et en même temps excitée. Mais dis-moi à ton tour, je ne tai pas violé tout de même, tu as vite démarré !
Tu es une belle femme
Nexagère pas tout de même !
Si, si je tassure ! Tu as un charme fou ! Tes yeux mont vite ensorcelé. Si je suis venu lautre soir, cest aussi parce que tu me plaisais !
Ah ah ! Petit canaillou !
Bon ! On est à égalité à ce niveau.
Mais
Tu nas pas une amie toi ?
On va dire plusieurs
Tu nes pas banal ! Donc, tu mas sautée sans remords ?
Oui ! Je ne sais pas si tu le regrettes, mais, moi jai adoré !
Moi aussi, mais demain tu vas repartir
Quest-ce qui te fait dire ça ?
Ben
tes
conquêtes, tu vas retourner auprès delles !
Puisquil y en a plusieurs, pourquoi pas une de plus ?
Tu vas assurer ? Je suppose quelles sont plus jeunes que moi.
Pas ment.
Comment ça ?
Premièrement, je ne connais pas ton âge, et cela ne se demande pas. Il est possible quelles soient plus jeunes ou plus vieilles.
Non ! Tu nes pas possible ! Jai cinquante cinq ans.
Cest pas vrai ? Sincèrement, tu ne les fais pas et quand tu es comme ça, encore moins !
Salaud ! lance-t-elle en riant. Alors maintenant, dis moi.
Dis-moi quoi ?
Ben, tes maîtresses, elles ont plus jeunes ou plus vieilles ?
Cest important ?
Je ne sais pas, cest pour savoir.
Bon, alors plus jeunes et plus vieilles
Mais arrête !
Je texplique. La plus jeune a quarante ans et la plus vieille soixante dix. Tu es contente ?
Oh ! Mais
Tu vois, tu es tombé sur un vicieux ! Désolé pour toi ! Il vaut mieux que tu le saches et quon arrête tout.
Tu es fou ! Cà ne me gêne pas du tout ! Je suis sûre que ces femmes mêmes vieilles doivent être charmantes. Simplement, je nai jamais connu quelquun qui le dise comme ça. Non, non, je ne veux pas arrêter
enfin, si toi tu veux bien continuer
un peu.
Tu es une très belle femme
Nexagère pas, je connais mes défauts
Tu es une très belle femme, donc, je persiste et je suis sûr quil y a beaucoup dhommes qui rêvent de te séduire !
Peut-être, ce nest pas du tout sûr ! En revanche, il y en a un qui ma séduite.
Je suis un peu vieux !
Arrête ! Tu me fais jouir comme une folle. Mon ex-mari ma longtemps obligé à me taire en faisant lamour et mon ancien copain, ne ma jamais fait crier. Toi tu mexcites, tu me fais crier et en plus tu aimes ça !
Je suis aussi un libertin !
Libertin ? Tu veux dire que tu aimes tamuser avec dautres partenaires ? Voire plusieurs ?
Oui ! Je fréquente les clubs et saunas libertins. Cà te choque ?
Parce que tu crois que ça peut marrêter ? Si tu veux tamuser, pas de problème et si tu me montres, peut-être que moi aussi jaimerais !»
Ce petit dialogue nous a bien excités tous les deux, aussi, posant nos verres, nous reprenons nos ébats.
Marie est une sacrée coquine, toujours en quête de nouveautés. Elle enchaine les positions. Dessous, dessus, sur le côté, passant souvent par la levrette quelle semble apprécier. Nous avons ce point en commun car dune part, sa croupe ressort particulièrement lorsquelle se penche en avant et dautre part, ses muscles internes semblent plus actifs. Ma bite est littéralement massée à lintérieur de sa gaine onctueuse. Elle en profite pour caresser son clitoris et augmenter son plaisir. Certains hommes sont vexés que la femme se caresse, pensant quils napportent pas assez de plaisir avec leur appendice. Pour ma part, jaime que la femme prenne du plaisir lorsque nous baisons, que ce soit elle, moi, ou un autre qui la fasse décoller à ce moment-là, ne me dérange pas du tout.
Complètement relâchée avec moi, Marie exprime haut et fort ses besoins, ses envies, ses sensations et lâche un grand Ouiiiiiiiii quand elle jouit, ce qui lui arrive plusieurs fois cette nuit-là.
Elle sendort ensuite comme une masse au moment ou enfin jéjacule au fond de son vagin. Après une dernier baiser sur sa fesse je nous recouvre de la couette, lenlace, collé derrière elle en chien de fusil je mendors à mon tour.
Quand jouvre les yeux, je trouve Marie, réveillée, couchée sur le côté la tête posée sur sa main en train de me regarder. Elle a repoussé les draps et elle est magnifiquement nue.
« Tu te rinces lil ? Dis-je. Il y a pourtant mieux et plus jeune.
Tu magaces avec ton âge et ton physique ! Tu me plais et tu me baises bien, le reste je men fous et contrairement à ce que tu as dis, je ne suis pas non plus un canon. Non, jattendais que tu te réveilles et il ny a pas très longtemps que je le suis.
A mon
Il faut bien récupérer.
Daprès ce que je vois, tu es à nouveau opérationnel ! »
Elle saisi sa queue, me branle brièvement, puis plonge son visage sur mon sexe dressé. Sa caresse ne dure pas longtemps. Perverse, elle sinterrompt en annonçant quelle a faim. Elle se lève, impudique et sort de la chambre.
Ayant abandonné mes habits au salon, je la suis et la retrouve dans la cuisine où elle prépare le petit déjeuner. Penché sur le plan de travail, son cul est un appel au sexe. Je viens me placer derrière sa croupe tendue. La salope avait prémédité son coup et tourne sa tête en souriant. Sa vulve accueille ma pine sans problème tant elle est trempée.
Marie a de longues jambes et dans cette position, sa fente est à la hauteur idéale. Cest un régal de baiser cette femme dautant quelle réagit au quart de tour. Sa poitrine pend dans lévier et elle sappuie contre le mur. Nous sommes face à la fenêtre à travers laquelle nimporte qui pourrait nous voir. Cest là que je me rends compte quen face à une vingtaine de mètres, se trouve lappartement de mon ex femme !
Marie, bien sûr commence à élever la voix, aussi je dois la bâillonner de la main, de peur quelle nalerte le quartier et particulièrement la voisine ! Je ne sais si cest la réalité ou un fantasme, mais il ma semblé un moment voir bouger un rideau en face.
Dès quelle a jouit, Marie se relève, se tourne et à genoux, avale ma bite pour me vider. Collé à lévier à mon tour, je mabandonne à la bouche vorace qui ne tarde pas à me pomper et avaler le sperme chaud du matin.
- « Si je mécoutais, je déjeunerais comme ça tous les matins ! » Lance la femelle délurée en se relevant.
Nous restons nus pour déguster nos croissants beurre et café. Ce nest quaprès la douche commune que je fais part à Marie que mon ex a peut-être vu quelque chose auparavant.
« Je suis désolée ! Jespère quelle ne men voudra pas ! Et toi, ça te gêne ?
Pas du tout ! Cétait simplement pour te dire que si tu voulais la discrétion, cest raté ! »
Nous rions de cette situation cocasse. Au moment de partir elle a aussi envie que moi que nous nous retrouvions. Je lui propose un weekend sur la côte. Je lavertis que nous irons dans un club libertin et elle accepte. Elle aura simplement besoin de sacheter quelques vêtements sexys. Je la quitte un peu plus tard en convenant dun rendez-vous.
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